Un immeuble de verre brillant

Je pense qu'il vaut mieux slalomer ds les cubicles qui devraient les gêner, et réduire le nombre qu'on pourrait de coltiner de face.

[ OK 2D10 et 4D8, mais vous avez compris qu'il avait 5 ou 6 zombies de votre côté du couloir vers les bureau?]

La fille prend une ceinture d'un macchabée et attache les deux poignées ensemble. Elle agrippe Nico et le tire vers les cubicles... " Viens"

Nico tu fends le crâne du premier qui arrive, heureusement les autres ne sont pas rapides.

Aya tu fais quoi?

[Aya, tu fais quoi ?!]

Je vous suis, ma peau est importante à mes yeux

"Jette donc des trucs qui se trouvent sur les bureaux pour les ralentir !"

"Ok", au passage j'essaye de balancer des chaises ou des écrans d'ordinateurs au milieu du chemin derrière nous. C'est donc moi qui ferme la marche.

Vous rentrez dans les allées des cubicles par quel coté.

[étant donné que je suis les 2 autres, je laisse Nico répondre]

Par la gauche

Les cubicles sont un dédale de petites allées avec des CUBICLES, alors que vous passez dans la première allée, vous voyez une tasse avec écrit TGIF dessus, et une main arrachée qui tient l'anse... Mais assez rapidement vous vous rendez compte que vos poursuivants, pour autant que vous ayez baissé la tête pour ne pas dépasser des panneaux, ont cessé de vous poursuivre en l'absence de traces. Vous vous arrêtez un instant pour reprendre votre souffle dans un cubicle. Dans celui d'à côté pend un combiné de téléphone duquel vous entendez une voix de femme: " Johnny? C'est toi que j'entends? Tu es revenu! Dieu merci! Ils essaient d'enfoncer la porte, Johnny, c'est affreux, les voisins sont morts... Enfin... Les enfants ont pris les somnifères que je leur ait donné... Johnny (sanglots)... Ils dorment... Réponds je t'en supplie..."

Je demande à la fille si les escaliers sont encore loin. Vu que les zomb ne nous suivent plus, il va falloir être bien silencieux. Ce n'est pas que dans l'immeuble, on dirait bien que cette merde est généralisée à toute la ville, et peut être même plus. Se pourrait-il que nous soyons les derniers ?

[entends-t-on encore des coups de feu dans la rue, ou du mouvement que pourrait faire des militaires ?]

Eh oui le téléphone fixe à l'air de fonctionner, lui.

[ Vous n'entendez plus de bruit venant de la rue.]

" Ah Johnny! Ils ont réussi à rentrer par le soupirail! Au secours! AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAArgh!" Vous entendez plus loin sur le combiné des cris d'enfants déchirants. Puis seulement des démarches trainantes, des grognements et des chuintements.

La fille est en larmes... Et murmure:"Mon dieu, on va tous mourir..."

En matière de bruits vous entendez quelqu'un qui tape un texte sur un clavier de l'autre côté du panneau ou vous vous trouvez à deux ou trois cubicles. Puis la fille vous dit "Regardez... A travers le verre dépoli d'une salle de conférence juste à votre gauche vous voyez une demie douzaine de silhouettes, que vous commencez à reconnaitre, maintenant...

"Attends, on ne sait pas s'ils sont encore normaux ou pas." Faudrait voir si on peut jeter un oeil sans se faire repérer. "Où sont les escaliers ?"

Je raccroche le combiné

[ Si je dis que vous reconnaissez la démarche, c'est qu'elle est caractéristique des zomb Aya.]

[ Putain! vous avez des téléphones vous n'aller pas essayer de téléphoner? ahahaha]

La fille dit " Il faut aller au bout des cubicles, et tourner à droite..."

[J'avais pas compris la phrase dans ce sens, faut dire que je suis un peu fatigué. J'ai mon portable, mais je crois que ça sert à rien de téléphoner]

Je propose qu'on continue à se faufiler doucement et qu'on se rendent aux escaliers. Il n'y a plus rien dans cet immeuble.

[est-ce que si on se magne, on peut les prendre de vitesse ?]

La fille dit " Il faut aller au bout des cubicles, et tourner à droite..."

[ Les plus vivaces des zombs que vous avez vus sont partis, ça devrait être possible de les semer au moins jusqu'à la porte...]

"Allez ! On y va !"